28 août 2011
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11:14
Un jour, on demanda au Dalaï-lama :
"Qu`est-ce qui vous surprend le plus dans l`humanité ?"
Il répondit en citant Confucius:
"Les hommes qui perdent la santé pour gagner de l`argent et qui, après, dépensent cet argent pour récupérer la santé.
A penser trop anxieusement au futur, ils en oublient le présent, à tel point qu`ils finissent par ne vivre ni au présent ni au futur...
Ils vivent comme s`ils n`allaient jamais mourir et meurent
comme s`ils n`avaient jamais vécu."
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Textes à méditer
27 août 2011
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20:13
Si vous cherchez
la clef de la Libération,
voici une mauvaise
et une bonne nouvelle.
La mauvaise nouvelle,
c'est qu'il n'y a pas de clef
pour la Libération.
La bonne nouvelle,
c'est que la porte
n'est pas fermée à clef.
Jan Kersshot
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Textes à méditer
27 août 2011
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08:24
II n'y a pas de causes extérieures au bonheur ou au malheur ; ces choses ne sont que des excuses. Peu à peu, nous réalisons que c'est quelque chose en nous qui ne cesse de changer et que cela n'a rien à voir avec les circonstances extérieures.
Votre façon de vous sentir est quelque chose d'intérieur, c'est une roue qui ne cesse de tourner. Observez-la simplement - c'est très beau, car en en prenant conscience, vous avez atteint quelque chose. Désormais, vous comprenez que vous êtes libre des excuses extérieures, car rien ne s'est passé à l'extérieur et pourtant, en quelques minutes, votre humeur a passé du bonheur au malheur, ou vice-versa.
Cela signifie que le bonheur et le malheur sont vos humeurs et qu'elles ne dépendent pas de l'extérieur. C'est une des choses les plus fondamentales à réaliser, car à ce moment-là, on peut faire beaucoup. La deuxième chose à comprendre, c'est que vos humeurs dépendent de votre inconscience. Aussi observez simplement et devenez conscient.
Si le bonheur est là, contentez-vous de l'observer et ne vous identifiez pas à lui.
Quand le malheur est là, observez encore.
C'est comme le matin et le soir.
Le matin, vous observez le soleil levant et vous y prenez plaisir.
Quand le soleil se couche et que l'obscurité descend, vous observez et vous y prenez le même plaisir.
Extrait du livre " Au coeur du présent "
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Textes à méditer
26 août 2011
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10:39
Entre ce que je pense, ce que je veux dire, ce que je crois dire, ce que je dis, ce que vous avez envie d'entendre, ce que vous croyez entendre, ce que vous entendez, ce que vous avez envie de comprendre, ce que vous croyez comprendre, ce que vous comprenez, il y a dix possibilités qu'on ait des difficultés à communiquer, mais essayons quand même.
Bernard Weber
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Textes à méditer
25 août 2011
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Au fil des jours
25 août 2011
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Voici venir les temps où vibrant sur sa tige
Chaque fleur s'évapore ainsi qu'un encensoir ;
Les sons et les parfums tournent dans l'air du soir ;
Valse mélancolique et langoureux vertige !
Chaque fleur s'évapore ainsi qu'un encensoir ;
Le violon frémit comme un coeur qu'on afflige ;
Valse mélancolique et langoureux vertige !
Le ciel est triste et beau comme un grand reposoir.
Le violon frémit comme un coeur qu'on afflige,
Un coeur tendre, qui hait le néant vaste et noir !
Le ciel est triste et beau comme un grand reposoir ;
Le soleil s'est noyé dans son sang qui se fige.
Un coeur tendre, qui hait le néant vaste et noir,
Du passé lumineux recueille tout vestige !
Le soleil s'est noyé dans son sang qui se fige...
Ton souvenir en moi luit comme un ostensoir !
Charles BAUDELAIRE (1821-1867)
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Jardin
24 août 2011
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Je suis l'oiseau qui frappe à ta fenêtre le matin
Et ton compagnon que tu ne peux connaître
L'arbre en fleurs qui s'illumine pour l'aveugle
Je suis la crête des glaciers qui se détachent au-dessus des forêts
Je suis l'éblouissant
Je suis les voix de cuivre provenant des tours de la cathédrale
La pensée qui surgit soudain à midi
Et t'emplit d'un étrange bonheur
Je suis celui que tu as aimé il y a longtemps
je marchais à tes côtés pendant la journée
je te regarde tendrement
Et je pose ma bouche sur ton cœur
Mais tu ne le sais pas
Je suis ton troisième bras
Et ta seconde ombre, celle qui est blanche
Dont tu ignores l'existence
Mais qui ne peut jamais t'oublier
Roll Jacobsen ( poète norvégien)
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Textes à méditer
23 août 2011
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21:29
Voilà, j'ai terminé la seconde boite de mouchoirs que j'ai fait pour l'association, je la trouve pas mal !!! et vous, mes lecteurs ?
La première c'était celle ci.
Laquelle préférez vous ?
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Serviettage
22 août 2011
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Quand plusieurs routes s’offriront à toi et que tu ne sauras pas laquelle choisir, n’en prends pas une au hasard, mais assieds-toi et attends, respire profondément avec confiance, sans te laisser distraire par rien, attends encore et encore, ne bouge pas, tais-toi et écoute ton cœur, puis quand il te parle, lève toi et va où il te porte.
Susana Tamaro
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Pensées du jour
21 août 2011
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22:15
Il était une fois un roi qui voulait offrir un prix à l'artiste qui ferait la peinture de la plus belle image de la paix. Plusieurs artistes essayèrent. Le roi regarda les images, mais il n'en aimait que deux et il avait à choisir entre ces deux peintures.
La première image représentait un lac calme. Le lac était un miroir parfait pour les montagnes majestueuses autour. Au-dessus, il y avait un ciel bleu avec quelques nuages blancs. Tous ceux qui virent cette peinture pensèrent que c'était l'image parfaite de la paix.
L'autre peinture avait aussi des montagnes. Mais elles étaient abruptes, rocheuses et sans arbre au sommet. Au-dessus, il y avait un ciel orageux avec de la pluie et des éclairs. A côté de la montagne, il y avait une grosse chute d'eau. Cela ne ressemblait en rien à la paix.
Mais quand le roi regarda, il vit derrière la chute un petit buisson qui avait poussé sur le rocher. Dans le buisson, une maman oiseau avait bâti son nid. Là, au milieu des remous, était assise la maman oiseau sur son nid... en parfaite paix.
D'après vous, quelle image a remporté le prix ?
Le roi a choisi la seconde.
- Parce que, expliqua-t-il, être en paix ne veut pas dire être à un endroit où il n'y a ni bruit, ni trouble ni gros travaux. Etre en paix, c'est bien plus souvent être au milieu de difficultés et de désagréments mais être toujours calme dans son coeur.
Anonyme
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